La procédure à utiliser dépend de la connaissance ou non de l'auteur de l'injure. La personne visée par la plainte doit être l'auteur des propos diffamatoires. Toutefois, si les propos ont été diffusés sur un média journal, site internet, radio..., c'est le directeur de la publication qui est considéré comme auteur principal. Le directeur de la publication est le responsable du média. Si le directeur de la publication est une personne distincte de l'auteur des propos incriminés, ce dernier sera poursuivi comme complice. Tout journal doit indiquer le nom de son directeur de publication. Cette règle s'applique également aux sites internet professionnels, mais pas aux blogs personnels amateurs. La victime ne peut poursuivre qu'une personne physique et non une personne morale un syndicat, une entreprise.... Et ce, même si la publication visée est éditée au nom de l'entreprise ou du syndicat. Si la diffamation été prononcée sur un site internet, la victime doit poursuivre d'abord l'auteur des propos et non l'hébergeur du site. La victime peut saisir directement le tribunal avec une citation directe. Pour utiliser cette procédure, vous devez connaître les coordonnées de la personne visée. Dans ce cas, vous devez alors recueillir les preuves vous-même. Toute preuve est admise par le tribunal capture d'écran, enregistrement audio.... La citation doit indiquer quels sont exactement les propos visés et de quelle infraction ils relèvent. La victime peut demander l'aide d'un avocat. Il ne suffit pas de poursuivre pour un article entier de blog, la citation doit indiquer quels passages précis relèvent de la diffamation, et lesquels relèvent, éventuellement, de l'injure publique, en faisant la démonstration juridique des allégations du plaignant. Le tribunal ne peut pas faire ce travail de démonstration juridique de l'infraction à la place du plaignant, sauf dans les cas de diffamation raciale, religieuse, sexiste, ou homophobe. Ainsi, en dehors de ces hypothèses, si la citation n'est pas assez précise ou s'il s'avère que le motif de la plainte a été mal choisi, la victime perdra son procès. La justice peut également rédiger elle-même les poursuites contre l'auteur des faits. Dans ce cas, vous devez porter plainte contre lui, via une plainte simple, ou une plainte avec constitution de partie civile. Vous devez vous rendre à un commissariat de police ou une brigade de gendarmerie. Où s'adresser ? Commissariat Où s'adresser ? Gendarmerie La réception de la plainte ne peut pas vous être refusée. La plainte est ensuite transmise au procureur de la République. Vous pouvez aussi porter plainte par courrier. Vous pouvez porter plainte auprès du procureur de la République. Il faut envoyer une lettre sur papier libre au tribunal judiciaire du lieu de l'infraction ou du domicile de l'auteur de l'infraction. Où s'adresser ? Tribunal judiciaire La lettre doit préciser les éléments suivants Votre état civil et vos coordonnées complètes adresse et numéro de téléphone Récit détaillé des faits, date et lieu de l'infraction Nom de l'auteur supposé si vous le connaissez sinon, la plainte sera déposée contre X Noms et adresses des éventuels témoins de l'infraction Description et estimation provisoire ou définitive du préjudice Documents de preuve certificats médicaux, arrêts de travail, factures diverses, constats ... Volonté de se constituer partie civile Où s'adresser ? Tribunal judiciaire Vous pouvez envoyer votre plainte en lettre recommandée avec accusé de réception, par lettre simple ou par lettre suivie. Vous pouvez aussi déposer votre plainte directement à l'accueil du tribunal. Dans tous les cas, un récépissé vous est remis dès que les services du procureur de la République ont enregistré votre plainte. La plainte avec constitution de partie civile peut être introduite directement en cas d'injure publique, et seulement après le classement sans suite d'une plainte simple en cas d'injure non publique. L'enquête ouverte suite au dépôt de plainte vise à établir la réalité des faits, sans les qualifier au niveau pénal. Par exemple, les enquêteurs vérifieront si la personne visée est bien l'auteur du blog et non si les propos qu'il a tenus étaient injustifiés. À savoir en cas d'urgence, un référé peut être utilisé par exemple, pour demander le retrait d'une vidéo publiée sur internet. Si l'auteur des propos est inconnu, la victime peut quand même déposer plainte par exemple, si l'auteur des propos utilise un pseudonyme. Dans ce cas, il est faut porter plainte contre X, que ce soit une plainte simple, ou une plainte avec constitution de partie civile. Vous devez vous rendre dans un commissariat de police ou à la gendarmerie de votre choix. Où s'adresser ? Commissariat Où s'adresser ? Gendarmerie Les services de police ou de gendarmerie sont obligés d'enregistrer la plainte. La plainte est ensuite transmise au procureur de la République pour qu'il décide de la suite enquête, classement sans suite.... Si vous ne connaissez pas l'auteur des faits, vous pouvez remplir une pré-plainte en ligne avant de vous déplacer. Vous obtiendrez alors un rendez-vous et les policiers ou gendarmes auront déjà les éléments de votre plainte à votre arrivée. Vous pouvez aussi porter plainte par courrier. Vous pouvez porter plainte auprès du procureur de la République. Il faut envoyer une lettre sur papier libre au tribunal judiciaire du lieu de l'infraction ou du domicile de l'auteur de l'infraction. Où s'adresser ? Tribunal judiciaire La lettre doit préciser les éléments suivants Votre état civil et vos coordonnées complètes adresse et numéro de téléphone Récit détaillé des faits, date et lieu de l'infraction Nom de l'auteur supposé si vous le connaissez sinon, la plainte sera déposée contre X Noms et adresses des éventuels témoins de l'infraction Description et estimation provisoire ou définitive du préjudice Documents de preuve certificats médicaux, arrêts de travail, factures diverses, constats ... Volonté de se constituer partie civile Où s'adresser ? Tribunal judiciaire Vous pouvez envoyer votre plainte en lettre recommandée avec accusé de réception, par lettre simple ou par lettre suivie. Vous pouvez aussi déposer votre plainte directement à l'accueil du tribunal. Dans tous les cas, un récépissé vous est remis dès que les services du procureur de la République ont enregistré votre plainte. La plainte avec constitution de partie civile peut être introduite directement en cas d'injure publique, et seulement après le classement sans suite d'une plainte simple en cas d'injure non publique. L'enquête ouverte suite au dépôt de plainte vise à établir la réalité des faits, sans les qualifier au niveau pénal. Par exemple, les enquêteurs vérifieront si la personne visée est bien l'auteur du blog et non si les propos qu'il a tenus étaient injustifiés. À savoir si les propos ont été tenus sur internet, vous pouvez demander à un hébergeur le retrait d'un contenu insultant une vidéo par exemple. Pour que la justice examine la plainte, il faut qu'elle soit introduite dans un certain délai, à partir de la date des faits. Ce délai au-delà duquel la plainte n'est plus recevable est appelé délai de prescription. Il démarre à la date de la 1ère publication des propos ou à la date de leur prononciation orale. Le délai de prescription est de 3 mois dans tous les cas. Si la diffamation a des motifs racistes, sexistes, homophobes ou à l'encontre des handicapés, le délai de prescription est d'1 an. Par exemple, si une personne est accusée d'avoir commis un vol parce qu'elle est originaire de tel pays. Le délai de prescription est d'1 an.Professionde foi municipales 2014 Un groupe de 7 femmes et 8 hommes représentatif de la population, des jeunes et moins jeunes, étudiants, salariés, retraités, présente sa candidature aux prochaines élections Elections municipales 2020 15 juin 2020 Le second tour des élections municipales 2020 a lieu le 28 juin prochain. Pour le second tour organisé le 28 juin 2020, les listes de candidats dans les communes de 2500 habitants et plus peuvent mettre en ligne une version numérisée de leur profession de foi, après qu'une commission indépendante a vérifié sa conformité aux dispositions du code électoral. Le site est actualisé chaque jour des professions de foi pour lesquelles les candidats ont fourni un fichier sur le site dédié .
Dansquelques jours, Apatou aura un nouveau maire. Le deuxième tour des municipales partielles a lieu ce dimanche. Trois candidats se disputent le fauteuil de 1er magistrat de la ville.
LETTRE TYPE profession-foi-municipales DISCOURS profession-foi-municipales Mariage Milieu professionnel Discours Un pot est donné en l’honneur du mariage d’un des membres de votre entreprise ou fédération. Vous êtes chargé de faire le discours. Vous vous exécutez. Déces Milieu professionnel Discours-Eloges funèbres Un confrère, employé, patron, une relation professionnelle, est décédée. Vous êtes chargé de prononcer un discours au nom de l'entreprise ou la profession, du syndicat... Discours d'un parrain ou d'une marraine pour la profession de foi de leur filleul/filleule Vous êtes le parrain ou la marraine d’un jeune homme ou d’une jeune fille qui fait sa profession de foi, appelée autrefois communion solennelle. Pour l’occasion, vous souhaitez prononcer un petit discours pour votre filleul/filleule. Vous mettrez en avant l’importance des liens qui vous unissent depuis son baptême ainsi que celle de l’événement, nouvelle étape dans sa vie religieuse et engagement dans sa vie quotidienne future. Anniversaires Anniversaires Milieu professionnel Discours A l’occasion de l’anniversaire d’un collègue, confrère, responsable, vous prononcez un discours. Dans celui-ci vous parlez de la maison, ou du secteur professionnel dans lequel vous évoluez. Discours d'un père ou d'une mère pour la profession de foi de son enfant En cette période du mois de mai ou de juin, votre enfant va faire sa profession de foi, intitulée auparavant communion solennelle. En tant que père ou mère, vous prononcez un petit discours auprès de votre enfant, de la famille et des amis, réunis. Vous mettez en valeur l’importance de l’événement et le fait qu’il constitue une étape supplémentaire dans la vie de votre enfant, au niveau spirituel et humain. FICHE PRATIQUE profession-foi-municipales PETIT MOT profession-foi-municipales Madame Mademoiselle, Monsieur, Avec l’ensemble de mes colistiers, j’ai décidé de me mettre au service de ma ville. Me présenter aujourd’hui devant vous à l’élection municipale, c’est pour Bien que la campagne électorale soit close la veille du scrutin à minuit, certains moyens de propagande par exemple la distribution de documents électoraux et notamment de tracts sont interdits dès la veille du scrutin zéro heure, soit les samedis 22 et 29 mars 2014 à zéro heure ce qui correspond aux vendredi 21 et 28 mars 2014 à minuit.Il est interdit à tout candidat de porter à la connaissance du public un élément nouveau de polémique électorale à un moment tel que ses adversaires n'aient pas la possibilité d'y répondre utilement avant la fin de la campagne électorale art. L. 48-1.A - Les moyens de propagandeIl faut distinguer les moyens de propagande licites et les moyens de propagande illicites dans le cadre de la campagne électorale Les moyens de propagande licitesLes réunions électoralesElles peuvent être tenues dans les conditions prévues par le loi du 30 juin 1881 sur la liberté de réunion et par la loi du 28 mars 1907 relatives aux réunions réunions publiques sont libres et peuvent donc avoir lieu sans autorisation électoral- Les panneaux d’affichageDès l’ouverture de la campagne électorale, c’est-à -dire le lundi 10 mars 2014, des emplacements spéciaux d’affichage prévus par l’article L. 51 doivent être affichage relatif à l’élection est interdit en dehors des panneaux mis en place par les mairies et des panneaux d’expression libre lorsqu’il en des emplacements doit être effectuée dans les conditions suivantes Dans les communes de moins de 1 000 habitants Il n’existe pas de procédure automatique d’attribution des emplacements d’affichage. Ils sont attribués dans l’ordre d’arrivée des demandes en mairie, déposées pour chaque tour de scrutin. En cas de candidatures groupées, les demandes d’emplacements peuvent être formulées par n’importe lequel des candidats ou par une personne mandatée. Dans les communes de 1000 habitants et plus Depuis le décret n° 2007-1670 du 26 novembre 2007, les emplacements d’affichage sont attribués en fonction d’un tirage au sort par le représentant de l’État, à l’issue du délai de dépôt des candidatures, entre les listes dont la candidature a été définitivement enregistrée. Les listes sont informées du jour et de l’heure du tirage au sort et peuvent s’y faire représenter par le responsable de liste ou un mandataire désigné par lui. L’ordre d’attribution des emplacements d’affichage est également celui retenu pour la disposition des bulletins sur la table de décharge à l’intérieur des bureaux de vote. En cas de second tour, l’ordre des listes retenu pour le premier tour est conservé entre les listes restant en présence. En cas de fusion de listes, l’ordre retenu est celui des listes d’accueil », c’est-à -dire des listes qui conservent au second tour le même candidat tête de liste ou, à défaut, le plus grand nombre de candidats sur la liste Les affiches électoralesLes affiches imprimées sur papier blanc sauf lorsqu’elles sont recouvertes de caractères ou d’illustrations de couleur ou celles comprenant une combinaison des couleurs bleu, blanc et rouge, à l’exception de la reproduction de l’emblème d’un parti ou groupement politique sont nombre d’affiches pouvant être apposées sur les emplacements prévus à cet effet n’est pas est limité le nombre d’affiches pouvant faire l’objet d’un remboursement forfaitaire, dans les communes de 1 000 habitants et affiches sont imprimées et apposées par les soins des listes ou de leurs circulairesL’impression des circulaires est à la charge des candidats ou des l’élection dans les communes de 2 500 habitants et plus, chaque liste peut faire imprimer et envoyer aux électeurs par la commission de propagande, avant chaque tour de scrutin, une seule circulaire d’un grammage compris entre 60 et 80 grammes au mètre carré et d’un format de 210 x 297 millimètres. Son texte doit être uniforme pour l’ensemble de la circonscription électorale commune, section ou secteur de commune.La circulaire peut être imprimée recto verso. Elle peut également être pliée mais ne peut, une fois dépliée, avoir un format différent de celui circulaires qui comprennent une combinaison des trois couleurs bleu, blanc et rouge, à l’exception de la reproduction de l’emblème d’un parti ou groupement politique, sont bulletins de votea Principes générauxL’impression des bulletins de vote est à la charge des candidats ou des bulletins doivent être imprimés en une seule couleur sur papier de nuances d’une même couleur n’est pas interdite. Ils peuvent être imprimés en recto verso. En Polynésie française et en Nouvelle-Calédonie, les bulletins de vote doivent être imprimés sur le papier de la couleur choisie par la liste ou attribuée à celle-ci art. R. 235.Les bulletins doivent être d’un grammage compris entre 60 et 80 grammes au mètre carré et avoir le format 105 x 148 millimètres pour les bulletins comportant 1 à 4 noms ; 148 x 210 millimètres pour les listes comportant de 5 à 31 noms ; 210 x 297 millimètres pour les listes comportant plus de 31 noms art. R. 30 modifié. Depuis le décret n° 2013-938 du 18 octobre 2013, il s’agit d’un format paysage, c'est-à -dire horizontal. b Communes de 1 000 habitants et plus Les bulletins de vote doivent comporter, sur leur partie gauche, précédé des termes Liste des candidats au conseil municipal», le titre de la liste des candidats au mandat de conseiller municipal, ainsi que les nom et prénom de chaque candidat composant la liste dans l'ordre de présentation et, pour tout candidat ressortissant d'un Etat membre de l'Union européenne autre que la France, l'indication de sa bulletins de vote doivent également comporter sur la partie droite de la même page, précédée des termes Liste des candidats au conseil communautaire », la liste des candidats au mandat de conseiller communautaire mentionnant, dans l’ordre de présentation, leurs nom et prénom. En Nouvelle-Calédonie et en Polynésie française, ces règles ne sont pas applicables. Les bulletins de vote comportent exclusivement la liste des candidats au conseil Les moyens de propagande interditsIl est interdit à tout agent de l’autorité publique ou municipale de distribuer des bulletins de vote, professions de foi et circulaires de candidats art. L. 50.Sont interdits à compter du 1er septembre 2013 et jusqu’à la date du scrutin où le résultat est acquis toute campagne de promotion publicitaire des réalisations ou de la gestion d’une collectivité sur le territoire des collectivités intéressées par le scrutin art. L. 52-1 ; l’utilisation à des fins de propagande électorale de tout procédé de publicité commerciale par la voie de la presse ou par tout moyen de communication audiovisuelle art. L. 52-1. Toutefois, conformément aux dispositions du dernier alinéa de l’article L. 52-8, les listes peuvent recourir à la publicité par voie de presse pour solliciter les dons autorisés par cet article L. 52-8, cette publicité ne pouvant contenir d’autres mentions que celles propres à permettre le versement des dons ; le recours à tout affichage relatif à l’élection en dehors des emplacements réservés à cet effet, sur l’emplacement réservé aux autres candidats ainsi qu’en dehors des panneaux d’affichage d’expression libre lorsqu’il en existe ; le fait de porter à la connaissance du public par une liste ou à son profit un numéro d’appel téléphonique ou télématique gratuit. Sont interdites à compter du jour d’ouverture de la campagne électorale officielle c'est-à -dire le lundi 10 mars 2014 les affiches électorales sur papier blanc ou qui comprennent la combinaison des trois couleurs bleu, blanc et rouge, à l’exception de la reproduction de l’emblème d’un parti ou groupement politique ; l’impression et l’utilisation, sous quelque forme que ce soit, de circulaires, affiches et bulletins de vote pour la propagande électorale, en dehors des conditions fixées par les dispositions en vigueur. La loi n° 2011-412 du 14 avril 2011 a supprimé l’interdiction de distribution de tracts électoraux pendant la campagne officielle ; tout affichage relatif à l’élection sur l’emplacement réservé aux autres candidats. Il est interdit, à partir du samedi 22 mars 2014 pour le premier tour et du samedi 29 mars 2014 pour le deuxième tour, à zéro heure de distribuer ou faire distribuer des bulletins, circulaires et autres documents, notamment des tracts ; de diffuser ou de faire diffuser par tout moyen de communication au public par voie électronique tout message ayant le caractère de propagande électorale ; de procéder, par un système automatisé ou non, à l’appel téléphonique en série des électeurs technique dite du phoning » afin de les inciter à voter pour une liste. Interdiction le jour du scrutin Il est interdit de distribuer ou faire distribuer le jour du scrutin des bulletins, circulaires et autres documents art. L. 49. Aucun résultat d’élection, partiel ou définitif, ne peut être communiqué au public par la voie de la presse ou par tout moyen de communication au public par voie électronique, en métropole, avant la fermeture du dernier bureau de vote sur le territoire métropolitain art. L. 52-2. Il en est de même dans chaque département ou collectivité d’outre-mer avant la fermeture de son dernier bureau de vote. Enfin, la loi n° 77-808 du 19 juillet 1977 relative à la publication et à la diffusion de certains sondages d’opinion prévoit que la veille de chaque tour de scrutin ainsi que le jour de celui-ci, sont interdits, par quelque moyen que ce soit, la publication, la diffusion et le commentaire de tout sondage ayant un rapport avec l’élection. Cette interdiction est également applicable aux sondages ayant fait l’objet d’une publication, d’une diffusion ou d’un commentaire avant la veille de chaque tour de scrutin. Elle ne fait pas obstacle à la poursuite de la diffusion des publications parues ou des données mises en ligne avant cette date. B - La communication des collectivités localesAucune disposition ne contraint les collectivités territoriales à cesser de mener des actions de communication à l’approche des élections. Néanmoins, la communication des collectivités ne doit pas être constitutive d’une propagande électorale en faveur des listes ou des municipalUn bulletin municipal doit avoir un caractère neutre et informatif et être consacré à des projets ou à des manifestations intéressant la vie locale. Ce document doit présenter un contenu habituel et revêtir une présentation semblable aux précédentes ailleurs, les propos tenus dans l’espace réservé aux conseillers municipaux n’appartenant pas à la majorité municipale ne doivent pas répondre à des fins de propagande outre, rien ne permet au maire de s'opposer à la publication d'articles dans la tribune libre, quand bien même ils seraient assimilables à de la propagande disposition ne contraint les collectivités territoriales à cesser leurs actions de communication à l’approche des élections. Néanmoins, la communication des collectivités ne doit pas être constitutive d’une propagande électorale en faveur des d’événementsLes inaugurations, cérémonies de présentations des vœux à l’occasion de la nouvelle année ou fêtes locales doivent également avoir un contenu neutre et informatif, portant sur des thèmes d’intérêt général, sans qu’il ne soit fait référence à l’élection à venir ou à la présentation des projets qu’il est envisagé de mener après l’ pour le bulletin municipal, la présentation, à cette occasion, des réalisations ou de la gestion d'une collectivité ne doit pas constituer une campagne de promotion publicitaire au sens des dispositions de l'article L. ailleurs, l’évènement ne doit pas avoir lieu spécialement à l’approche des élections mais doit être organisé conformément à une périodicité habituelle et dans des conditions identiques à une manifestation sur InternetLes sites Internet des collectivités locales sont tenus de respecter le principe de neutralité et n’ont donc pas vocation à participer directement ou indirectement à la campagne électorale des candidats ou des les campagnes de promotion publicitaire ne sont pas interdites aux collectivités à compter de la période mentionnée ci-dessus mais seulement celles qui, assurant la promotion de leurs réalisations ou de leur gestion, peuvent avoir un lien avec les élections municipales, notamment lorsqu’elles évoquent un candidat. Il ressort de la jurisprudence que le site Internet d’une collectivité contenant des informations générales, dépourvues de toute polémique électorale, ne doit pas être regardé comme une campagne de promotion publicitaire des réalisations ou de la gestion d’une collectivité au sens du deuxième alinéa de l’article L. 52-1 CE 8 juillet 2002, Élections municipales de Rodez.C - Les moyens de propagande autorisés et interdits sur Internet Sites Internet des candidatsLes candidats ou les listes peuvent créer et utiliser leurs sites Internet dans le cadre de leur campagne électorale. En ce qui concerne les sites Internet interactifs dits blogs », il est recommandé aux candidats et aux listes de se conformer aux dispositions relatives à l’utilisation des sites Internet dits classiques », en l’absence de jurisprudence et sous réserve de l’appréciation souveraine du commerciale et InternetIl est interdit aux listes de recourir, à des fins de propagande électorale, à tout procédé de publicité commerciale par voie de presse ou par tout moyen de communication audiovisuelle pendant les six mois précédant le premier jour du mois de l’élection, soit le 1er septembre 2013 1er alinéa de l’art. L. 52-1. La réalisation et l’utilisation d’un site Internet ne revêtent pas le caractère d’une publicité commerciale au sens de ces dispositions CE 8 juillet 2002, Élections municipales de Rodez. En revanche, cette interdiction peut être entendue comme s’appliquant à tous les procédés de publicité couramment employés sur Internet achat de liens sponsorisés ou de mots-cléfs, ou référencement payant. Les candidats ou les listes ne peuvent donc pas y recourir pendant cette période. Par ailleurs, l’affichage de messages publicitaires sur leur site pourrait avoir pour conséquence de mettre les candidats ou les listes en infraction avec les dispositions de l’article L. 52-8, qui prohibe tout financement de campagne électorale par une personne morale, à l’exception des partis ou groupements politiques. Cependant, le juge de l’élection considère que l’utilisation par une liste d’un service gratuit de l’hébergement de sites Internet, proposé de manière indifférenciée à tous les sites licites par une société se réservant le droit d’inclure un bandeau ou des fenêtres publicitaires sur les sites hébergés, ne méconnaît pas les dispositions de l’article L. 52-8 dès lors que la gratuité de l’hébergement en contrepartie de la diffusion de messages publicitaires ne constitue pas un avantage spécifique à la liste CE, 18 octobre 2002, n°240048, Élections municipales de Lons.Sites Internet la veille et le jour du scrutinLe premier alinéa de l’article L. 49, qui interdit de distribuer ou faire distribuer, le jour du scrutin, des bulletins, circulaires et autres documents », n’a pas pour effet d’empêcher le maintien en ligne d’un site, ce jour-là CE 8 juillet 2002, Élections municipales de Rodez.Le deuxième alinéa de cet article L. 49, qui interdit à partir de la veille du scrutin à zéro heure … de diffuser ou de faire diffuser par tout moyen de communication au public par voie électronique tout message ayant le caractère de propagande électorale », s’applique aux sites Internet des candidats et des listes. Cependant, cette disposition n’est cependant pas interprétée par la jurisprudence comme prohibant le maintien en ligne du site mais seulement comme interdisant sa modification la veille et le jour du candidats ou les listes sont ainsi incités à bloquer » les discussions entre internautes se déroulant sur leur site Internet la veille du scrutin à zéro heure, soit le samedi à zéro heure ce qui correspond au vendredi à minuit.Madame, Mademoiselle, Monsieur, Avec l’ensemble de mes colistiers, j’ai décidé de me mettre au service de ma ville. Me présenter aujourd’hui devant vous à l’élection municipale, c’est pour moi une responsabilité forte que je veux porter avec vous, pour vous. Nous faisons tous le constat que la vie politique locale est un enjeu confisqué par les mêmes personnes depuis trop longtemps. Comme vous, je regrette que notre ville soit toujours le lieu d’un affrontement stérile et archaïque entre deux partis qui se disputent le pouvoir et qui se livrent toujours aux mêmes combats d’arrière-garde. Ce n’est pas une fatalité. Je souhaite que notre ville regarde en avant, se tourne vers l’avenir. Je serai le maire de tout Colombes et de tous les Colombiens, d’une ville rassemblée, riche de ses différences, unie et modernisée. Notre ville accuse encore beaucoup de retard. C’est vrai, l’endettement a été réduit grâce à l’effort fiscal intense mais excessif demandé aux Colombiens. Et on ne voit pas concrètement les investissements réalisés avec notre impôt. Aujourd’hui, il faut tourner la page et être capable de faire décoller notre ville. Je veux mettre Colombes au niveau des villes les plus performantes des Hauts-de-Seine, en termes de création d’emploi, d’écologie, de solidarité, de transports… Je connais et j’aime Colombes. J’y habite avec ma famille depuis 14 ans. Ma carrière professionnelle m’a conduit à exercer de nombreuses responsabilités et à encadrer des équipes importantes, en France et à l’étranger. Elle m’a donnée l’expérience de la gestion d’une collectivité comme la nôtre et l’expertise pour réussir à mener à bien les grands projets à venir. Je m’engage aujourd’hui devant vous avec une promesse être un maire ouvert, humain, efficace et à votre écoute. Aucune décision d’envergure ne devra être prise sans consulter et prendre en compte l’avis des Colombiens. Pour avancer, lancer de nouveaux investissements, délimiter des zones d’aménagements urbains, etc. il faut être disponible, savoir écouter, répondre aux questions et prendre le temps de convaincre. Cet objectif anime l’ensemble de la liste En avant Colombes ! ». Elle comprend des personnalités libres, venues du centre, de la droite et de la gauche, riches de leur expérience professionnelle, associative et même municipale pour les élus qui m’ont rejoint. Notre programme est à la fois solidaire, concret, réaliste et ambitieux. Nous sommes prêts à le mettre en oeuvre. Notre équipe enthousiaste, mobilisée pour un engagement citoyen fort est à l’image de notre ville qui change et évolue. Colombes a besoin d’un souffle nouveau, d’un élan résolu et généreux. Manuscrit Pour une ville humaine, unie et dynamique En Avant Colombes ! Laurent TRUPIN Retrouvez l’intégralité de notre programme sur Ou recevez-le gratuitement chez vous en téléphonant au 06 78 86 49 76
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