Quelles nouvelles séries sont faites pour vous ? Voici notre guide critique 2014Par Raphaëlle Raux-Moreau & Jean-Maxime Renault — 16 nov. 2014 à 1755 Alors qu'une trentaine de nouvelles séries ont débuté ces trois derniers mois sur les chaînes américaines, voici notre guide critique pour vous permettre de vous y retrouver, selon vos goûts et vos envies du moment... Au Sommaire Si vous aimez "Arrow"... Si vous aimez "Scandal" et "Grey's Anatomy"... Si vous aimez "Castle"... Si vous aimez "How I Met Your Mother"... Si vous aimez "Batman"... Si vous aimez "Glee" et "Nos étoiles contraires"... Si vous aimez "Esprits Criminels"... Si vous aimez "The Big Bang Theory"... Si vous aimez "The Good Wife"... Si vous aimez "Ugly Betty'... Si vous aimez "Homeland"... Si vous aimez "Broadchurch"... Si vous aimez "Happy Endings"... Partager cet article Saison US 2014 / 2015 Flash, Gotham, Walking Dead... le guide complet des séries
Ainsi Tinder va vous permettre de trouver votre nouveau match par le biais de la musique. Ce, à travers une expérience de 30 secondes. Vous aurez alors un aperçu plutôt exhaustif des goûts de votre crush en 30 secondes. C’est tout bénef en soi : 30 secondes pour tout connaître des goûts musicaux de votre target ! Quand j’ai demandé il y a onze ans, après ma mastectomie, où je pouvais trouver un maillot de bain adapté, on m’a regardé comme si j’avais dit un gros mot, se rappelle Céline Lis-Raoux, directrice de l’association RoseUp. Les femmes atteintes d’un cancer devaient se cacher… ou en tout cas éviter la plage. C’est intéressant de voir comment la lingerie est passée de la négation de la maladie à une offre pléthorique. »Les choses ont en effet bien changé en quelques années. Car aujourd’hui, de nombreuses marques, grand public ou confidentielles, onéreuses et sexy, ont élargi l’offre pour des femmes après une mastectomie, avec ou sans reconstruction multitude de contraintesIl faut dire que ce vêtement devient vite votre ennemi quand on arrive à peine à lever ses bras à cause de la douleur… Pour Nasrine Callet, gynécologue à l’ Institut Curie, c’est important de penser à l’après, de se sentir bien dans son corps. Heureusement que les marques ont été sensibilisées. » Pour que les femmes, après la maladie ou une mastectomie préventive, trouvent des vêtements confortables et esthétiques, en fonction de leur tour de poitrine, de leurs goûts, de l’opération tumorectomie, mastectomie sur un sein ou sur les deux, reconstruction ou non… et des stades de la la radiothérapie, il vaut mieux mettre une brassière en coton que rien du tout, car souvent, le sein a gonflé. Or être soutenu permet une meilleure circulation sanguine. » Et une fois les traitements et opérations terminés ? La première exigence, c’est de trouver un soutien-gorge avec une poche pour la prothèse, de sorte qu’elle ne bouge pas et qu’il n’y ait pas d’asymétrie entre les seins, et donc pas de déséquilibre pour le dos, reprend la gynéco. On peut mettre un soutien-gorge avec armature métallique, mais je déconseille de le porter tout le temps. Quand les seins ont été traités, la peau est plus fragile, donc le frottement peut créer des boules. Cet épaississement cutané, pas dangereux, peut inquiéter la patiente. »L’option d’une lingerie sans armature - ou alors une armature non métallique - sont à privilégier. Et qui se ferme sur le devant, ce qui limite le mouvement des épaules », complète Céline Lis-Raoux. C’est mieux aussi si la fermeture se fait sur trois niveaux, ce qui permet d’être très serrée ou de libérer un peu au fur et à mesure de la cicatrisation. Quant à la matière, c’est du coton qu’on veut, renchérit Angélique Lecomte, qui a eu un cancer et une mastectomie il y a cinq ans. Après, il faut trouver un consensus du maintien, mais pas trop, pour que ça ne serre pas trop. »Cette to-do list exigeante n’a pas freiné certaines marques, et les collections se sont adaptées. Avant, c’était surtout la marque Amoena, très chère et souvent vendue en pharmacie, confirme Céline Lis-Raoux. Mais petit à petit, on a vu arriver des projets de femmes, qui avaient traversé un cancer. » Cécile Pasquineli monte Garance en 2012, une marque de maillots de bain et de lingerie. Puis Angélique de Rocquigny conçoit Coeur de Lys, avec des modèles 100 % made in France, respectueux des peaux sensibilisées, colorées et féminines. Quand les grandes marques se positionnentMais le vrai boom est plus récent. Depuis environ deux ans, de grandes marques s’invitent sur ce créneau. Et beaucoup de besoins sont couverts les brassières post-opératoires de Kiabi et Etam pour les petits budgets, celles de Décathlon pour les sportives, Coeur de Lys est en vente sur le catalogue Blancheporte… Cette floraison du côté de la lingerie, c’est bien la preuve que le cancer n’est plus tabou », s’enthousiasme Céline Lis-Raoux, également directrice de Rose coller au plus près des besoins, les grandes marques se sont souvent associées à des patientes. Notamment Princesse tam-tam, interpellée par l’une de ses consommatrices il y a trois ans. Gaëlle, atteinte d’un cancer à 39 ans, s’est plainte sur le site de sa marque préférée de ne pas trouver son bonheur. Alors la marque a monté sa collection avec elle. De même, quand Carrefour s’est intéressée à la question, l’association Rose Up lui a donné un coup de à cette offre plus variée niveau style et niveau budget, les patientes applaudissent. Mais il ne faut pas être naïf, reprend Céline Lis-Raoux. Les grandes marques ont bien vu que le nombre de cancer explose, qu’il touche plus de femmes jeunes, qu’il y a un marché. Les pionnières, d’anciennes patientes, ont créé le désir en montrant qu’on peut faire de jolies choses ! »Une lingerie modulableDepuis un an, une nouvelle venue enrichit le catalogue les Monocyclettes. A la barre Angélique Lecomte. Cette ex-infirmière, qui a subi une mastectomie sur un sein il y a cinq ans, a choisi de ne pas se faire reconstruire et de ne pas porter de prothèse. Je passais devant les vitrines de magasins où j’achetais avant ma lingerie et j’avais envie de pleurer, avoue-t-elle. Avant, c’était un plaisir. Là, ça devenait uniquement utilitaire. Déjà que moralement, c’est difficile… »Voilà pourquoi son credo, c’est de laisser les femmes libres de décider ce qu’elles veulent porter, en leur proposant de construire leur soutien-gorge modulable. En tout, combinaisons sont possibles, entre les modèles pour un sein profonds, plats, en coton, en dentelle, avec poche ou sans poche, et chacun en 17 de s’adapter aux goûts de chacune, mais aussi aux stades des opérations… Que ça fait du bien quand on a mal après une séance de radiothérapie de ne mettre qu’un seul côté du soutien-gorge !, assure Angélique. Quand on est en cours de reconstruction et que la poitrine est asymétrique, on va pouvoir acheter deux bonnets de tailles différentes. » Ou encore un côté noir en coton plat pour la cicatrice et un côté violet en dentelle côté sein. J’ai même une cliente qui a fait du nudisme sur une plage avec un soutien-gorge mono bonnet avec poche couleur chair. Elle n’avait pas envie de montrer sa cicatrice, ni de l’exposer au soleil. Cela permet une liberté absolue et c’est ce que je voulais. » Son ambition est aussi de changer le regard sur le corps des femmes Seulement 30 % des femmes font une reconstruction mammaire. Ce n’est pas parce qu’on n’a plus qu’un sein qu’on n’est plus une femme, qu’on n’a plus le droit à la sexualité ! »- Уժዋктуп а εሊидавሷհ
- Хиχяйωኇаկ чоፑεклա
En cours de développement, l'application Vinidaily vous permettra à partir de mai 2021 de dénicher en grande surface une bouteille de vin en fonction de vos goûts ou de vos repas. Par Nicolas Gosselin Publié le 23 Fév 21 à 1928 Carla Carfagno et Nicolas d’Aligny travaillent sur le développement de l’application Vinidaily et sont actuellement en phase-test dans un hypermarché de Wasquehal, dans le Nord. ©VinidailyVous en avez marre de chercher une bonne » bouteille de vin au supermarché ? Bonne nouvelle l’application Vinidaily débarque sur le Play Store et l’App Store à partir de mai 2021 pour vous aiguiller au milieu de ces dizaines – voire centaines – de à l’intelligence artificielle, l’appli fait office de sommelier et oriente l’utilisateur vers la bouteille adaptée à ses goûts, ses préférences ou au repas qu’il a appli pour pallier la disparition des conseillers de venteCe nouvel outil, bientôt disponible sur smartphone, doit faciliter l’acte d’achat alors qu’un client passe en moyenne 1’30 dans le rayon des vins des supermarchés, voire plus dans les hypermarchés, contre une minute environ dans les autres rayons. Depuis quelques années, il n’y a plus de conseillers en vin dans ces rayons car ils étaient considérés comme trop coûteux pour les grandes surfaces. Du coup, le consommateur se retrouve livré à lui-même », relève Carla Carfagno, co-fondatrice de client se sent perdu » dans le rayonC’est fort de ce constat que la diplômée de l’Inseec, une école de commerce à Bordeaux Gironde, a décidé de développer cette application avec Nicolas d’Aligny – qui sort lui de l’IAE de Lyon Rhône et suit actuellement un master spécialisé à l’ESSEC Paris – sur laquelle ils travaillent à temps complet depuis septembre une journée d'observation dans un hypermarché à Wasquehal Nord, on a constaté qu'un client sur dix rentrait dans le rayon et repartait sans rien. Sur les 1 400 témoignages de consommateurs récoltés durant notre étude de marché, le mot perdu » était cité à 76%. Des termes plutôt négatifs sont remontés comme angoisse » , peur de se tromper » , perte de temps » . Du coup, les gens prennent toujours la même bouteille ou choisissent au hasard. Dans l’association d’œnologie de son école de commerce, l’entrepreneure de 23 ans a aussi été confrontée à cette problématique. La plupart de mes amies ne sont pas sensibles au monde du vin et m’envoyaient des photos du rayon de Monoprix en me demandant ce qu’elles devaient acheter, se rappelle la Bordelaise. Je m’y connaissais le mieux de mon cercle d’amis mais je suis loin d’être une experte ! »Vidéos en ce moment sur ActuUne application qui s’adresse aux novicesD’ailleurs, Vinidaily n’a pas vocation à apporter une expertise. L’application s’adresse surtout à un public de novices à confirmés ». L’interface est prévue de cette façon-là, avec un profil de consommateur défini dans les grandes lignes grâce à quatre questions simples sur ses habitudes alimentaires, puis peaufiné au fil de l’expérience utilisateur grâce à l’intelligence ? Tout démarre par un questionnaire rapide. Par exemple Comment dégustes-tu ton café ? Je n’en bois pas / au lait / sucré / noir. » Cela permet d’identifier l’appétence du consommateur pour le sucre, les tanins, l’acidité et l’amertume ; et lui détermine un profil », justifie Carla de 400 appellations référencéesComme plus de 400 appellations viticoles ont été catégorisées dans l’application avec ces variables-là, selon leurs arômes, arômes de vieillissement, accords mets et vins ou potentiel de garde, Vinidaily dirige donc l’utilisateur vers des appellations qui semblent matcher » avec ses mais, dans certains hypermarchés, il y a des dizaines de bouteilles d’une même appellation et aux caractéristiques gustatives pourtant bien différentes, pensez-vous ? Vous avez raison ! C’est là que l’intelligence artificielle rentre en jeu, répond la co-fondatrice de Vinidaily. On ne peut pas goûter tous les vins de France pour entrer leurs caractéristiques précises. La première fois, par exemple, l’application va suggérer trois bouteilles à un profil B. Après avoir goûté le vin, l’utilisateur note le vin. S’il n’a pas aimé le vin proposé, la machine learning ne va plus reproposer cette bouteille à un autre profil B de l’appli. Et vice-versa. »L’appli conseille même pour faire des cadeauxL’application propose aussi d’autres fonctionnalités. Vous pourrez par exemple préciser dans quelle circonstance vous souhaitez boire le vin. Pour l’apéro, pour une raclette, avec une viande rouge, etc. Ainsi, l’algorithme accorde la vous souhaitez choisir une bouteille qui fera plaisir à votre compagnon ou compagne, ou à un ami ? S’il ou elle est sur l’application, vous pouvez ajouter son profil à votre profil, comme sur un réseau social, et préciser à l’outil numérique que vous voulez acheter une bouteille qui corresponde aussi à ses goûts. Pratique pour faire un cadeau !Enfin, dernier point, Vinidaily propose bien évidemment un choix de bouteilles selon des fourchettes de prix prédéfinies. Pour l’apéro, c’est -8€ ou +8€ par exemple. Pour les repas, c’est -10€, 10-20€ ou +20€. On ne prend pas les vins en dessous de quatre ou cinq euros – ça reste à déterminer – car on a plus de chances de se tromper sous un certain seuil et on ne veut pas que l’application soit déceptive pour l’utilisateur », dit Carla sera 100% gratuiteSurtout, les deux entrepreneurs souhaitent que Vinidaily soit 100% gratuite pour l’utilisateur. Leur rémunération serait donc un abonnement auquel souscrirait les grandes surfaces intéressées pour que leur rayon soit référencé sur l’ pour qu’elle soit intéressante pour les supermarchés, encore faut-il qu’elle permette aux magasins d’augmenter le panier moyen. Un client mieux conseillé va pouvoir dépenser plus, promet Carla Carfagno, qui joue sa partition commerciale. En plus, ça digitalise leurs points de vente et ça permet une expérience utilisateur enrichie. »En février 2021, les deux fondateurs de Vinidaily sont donc en phase-test à l’hypermarché de Wasquehal, pour peaufiner les derniers réglages de leur future application. Ils sont aussi en pleine étude de consommateurs pour catégoriser les attendant la sortie de l’appli, les amateurs de vin peuvent se rendre sur la page Facebook de Vinidaily où, via la messagerie privée, un chat-bot est déjà disponible pour conseiller l’utilisateur sur des bouteilles qui matchent » avec son profil. À vos claviers, achetez, goûtez !Cet article vous a été utile ? Sachez que vous pouvez suivre Actu Bordeaux dans l’espace Mon Actu . En un clic, après inscription, vous y retrouverez toute l’actualité de vos villes et marques favorites.
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