Vous êtes ici Les différents types d’amour mentionnés dans la Bible La langue grecque dans laquelle le Nouveau Testament fut écrit utilise plusieurs mots traduits par amour ». Les deux premiers de la liste citée ci-dessous se trouvent dans le Nouveau Testament. Comprendre leurs significations nous aide à mieux appréhender ce que Dieu attend de nous. Agapao verbe est un terme spécial représentant l’amour divin qu’éprouve Dieu envers Son Fils, les croyants, et les êtres humains en général. Il est également utilisé pour décrire un amour altruiste et Dieu s’attend à ce que les croyants fassent preuve d’un tel amour les uns envers les autres. Agapao ainsi que sa forme nominale agape est le mot caractéristique de la chrétienté et puisque l’Esprit de révélation l’a utilisé pour exprimer des concepts précédemment inconnus, chercher à comprendre comment il est utilisé, que ce soit dans la littérature grecque ou dans la Septante, ne jette que peu de lumière sur sa signification particulière dans le Nouveau Testament […] » Ce type spécial d’amour chrétien, qu’il soit exercé à l’égard des frères, ou à l’égard des êtres humains en général, n’est pas une impulsion de sentiments, il ne va pas toujours dans le sens de nos inclinations naturelles, ni ne se démontre pas uniquement envers ceux pour qui une certaine affinité serait découverte » Vine’s Complete Expository Dictionary of Old and New Testament Words, “Love”. Puisque le mariage humain est calqué sur la relation divine entre le Christ et l’Église, il est dit aux maris d’aimer leurs femmes avec ce genre d’amour altruiste et désintéressé Éphésiens 525 ; Éphésiens 531-32. Ce genre d’amour est peut-être mieux exprimé par la déclaration de Jésus-Christ dans Jean 1513 Il n’y a pas de plus grand amour [agape] que de donner sa vie pour ses amis ». Jésus Lui-même a parfaitement illustré ce genre d’amour tout au long de sa vie, en donnant sans cesse de Sa personne, de Son temps et de Son énergie pour servir les autres et, finalement, a offert Sa vie en sacrifice pour l’humanité tout entière. C’est le genre d’amour que Dieu veut que chacun de nous fasse preuve dans notre vie et en particulier au sein du mariage. Phileo verbe signifie avoir des sentiments et une affection profonde — une sorte d’amour impulsif » Nelson’s New Illustrated Bible Dictionary, 1995, “Love”. Il s’agit du type d’amour et d’affection naturelle et humaine que nous éprouvons à l’égard d’un ami et il est souvent défini comme étant tout simplement l’amour fraternel ». Dans Jean 2115-16, Jésus demanda à Pierre s’il L’aimait d’un amour de type agapao et Pierre Lui répondit qu’il ressentait à son égard un amour humain normal de type phileo. Plus tard, après avoir reçu le Saint-Esprit, Pierre fut en mesure de véritablement démontrer l’amour de type divin agapao dans son service auprès des autres tout au long de sa vie et souffrir le martyr en un sacrifice ultime. Éros nom se réfère à un amour ou à un désir sexuel et érotique. L’amour véritable, comme il est expliqué dans la Bible, n’est pas égoïste ou centré sur des émotions et des sentiments personnels, mais il est plutôt tourné au-delà de soi-même, vers les autres, désirant mieux les servir et mieux prendre soin d’eux. L’amour véritable est magnifiquement décrit dans 1 Corinthiens 134-8 L’amour est patient, il est plein de bonté; l’amour n’est point envieux; l’amour ne se vante point, il ne s’enfle point d’orgueil, il ne fait rien de malhonnête, il ne cherche point son intérêt, il ne s’irrite point, il ne soupçonne point le mal, il ne se réjouit point de l’injustice, mais il se réjouit de la vérité; il excuse tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout. L’amour ne périt jamais. »
Moïsese cacha le visage, car il craignait de regarder Dieu. » (v.6). Le Seigneur se présente comme le Dieu de ses pères, mais aussi comme le Père de ses pères. Un commentaire excellent fait cette remarque dans ce verset ou le Seigneur dit par 3 fois « Je suis le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, le Dieu de Jacob ». Parce que Dieu
L’amour 1 Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas l’amour, je suis un airain qui résonne, ou une cymbale qui retentit. 2 Et quand j’aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j’aurais même toute la foi jusqu’à transporter des montagnes, si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien. 3 Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, si je n’ai pas l’amour, cela ne me sert à rien. 4 L’amour est patient, il est plein de bonté; l’amour n’est point envieux; l’amour ne se vante point, il ne s’enfle point d’orgueil, 5 il ne fait rien de malhonnête, il ne cherche point son intérêt, il ne s’irrite point, il ne soupçonne point le mal, 6 il ne se réjouit point de l’injustice, mais il se réjouit de la vérité; 7 il excuse tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout. 8 L’amour ne périt jamais. Les prophéties seront abolies. 9 Car nous connaissons en partie, et nous prophétisons en partie, 10 mais quand ce qui est parfait sera venu, ce qui est partiel sera aboli. 11 Lorsque j’étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais comme un enfant, je raisonnais comme un enfant; lorsque je suis devenu homme, j’ai fait disparaître ce qui était de l’enfant. 12 Aujourd’hui nous voyons au moyen d’un miroir, d’une manière obscure, mais alors nous verrons face à face; aujourd’hui je connais en partie, mais alors je connaîtrai comme j’ai été connu. 13 Maintenant donc ces trois choses demeurent la foi, l’espérance, l’amour; mais la plus grande de ces choses, c’est l’amour.
Etquand j'aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j'aurais même toute la foi jusqu à transporter des montagnes,si je n'ai pas l'amour, je ne suis rien. 1 Corinthiens 13. L'amour parfait bannit la crainte, l'amour ne soupçonne point le mal. 1 Jean 4:18. N'aimons pas seulement en parole
6 novembre 2009 5 06 /11 /novembre /2009 0024 L'amour ne soupçonne point le mal. 1 Corinthiens 135 Soupçonner le mal est un acte qui débute toujours par une pensée qui nous amène à douter d'une personne ou d'un groupe de personnes. Généralement, nos soupçons ont pour fondement une action que nous avons vue ou une parole que nous avons entendue ou encore, pour la majorité des cas, ils sont basés sur une impression sans fondement clair. C'est en cela qu'on peut soupçonner qu'une personne soit malhonnête, qu'une autre soit méchante, qu'un groupe de personnes soit étrange. On peut soupçonner qu'une personne ait voulu nous ridiculiser, nous tromper, nous humilier, nous empêcher de réussir, nous voler quelque chose, nous blesser, nous tuer ou nous avoir. C'est vrai que des fois nos soupçons s'avèrent vrais, mais certaines personnes ont l'habitude de facilement accuser autrui sans avoir une base ou une preuve. Se basant sur des impressions, elles se méfient du prochain et vont même jusqu'à l'accuser et à le calomnier. La Bible parle de cet amour qui ne soupçonne point le mal. Il est convenable, raisonnable et biblique de prendre la peine de s'informer ou de demander avant de croire qu'une personne est mauvaise. Nous devons apprendre à faire confiance aux autres, sans être toujours sur ses gardes tout en pensant que tout le monde est faux ou qu'un type de personnes soit faux. Je sais que plusieurs, à cause de leur passé rempli de tromperie ou de trahison, ont du mal à ne pas penser que telle ou telle personne peut être fausse. Dieu qualifie cela d'un manque d'amour. A part DIEU, personne d'autre sur cette terre ne peut dire à 100% connaître les pensées de son prochain, ce qui prouve qu'on peut facilement se tromper lorsqu'on soupçonne le mal. Nous sommes prêts à douter des autres, à les soupçonner d'un mal ou à les accuser d'une mauvaise action. Avons-nous des preuves ? Pourquoi nous pressons nous à condamner et à accuser ? Est-ce de la sorte que notre Seigneur agit envers nous ? Malgré qu'IL soit Dieu et qu'IL connaisse toutes nos pensées, IL sait nous faire confiance à nouveau même si nous avons pour habitude d'échouer dans nos engagements envers LUI et envers les autres. Arrêtons donc de toujours soupçonner le mal, de se faire des impressions qui ne sont basées en rien sur du solide. Nous n'aimons pas notre prochain quand nous agissons ainsi. L'amour du prochain n'a rien à avoir avec le fait que nous disons que nous aimons tout le monde. Il faut que dans nos actions cela soit présent, sinon notre Dieu suppose que nous ne L'aimons pas aussi. Si quelqu'un dit J'aime Dieu, et qu'il haïsse son frère, c'est un menteur; car celui qui n'aime pas son frère qu'il voit, comment peut-il aimer Dieu qu'il ne voit pas? 1 Jean 420. Les paranoïaques sont pires dans cette mauvaise manière d'avoir des fausses impressions des autres ou des situations. Être paranoïaque n'est pas une attitude compatible avec l'amour du prochain. Soupçonner le mal est une mauvaise habitude qui a détruit plus d'un couple. Lorsqu'on ne fait pas confiance à l'autre, on soupçonne même ce qui n'est pas du tout vrai ; ce qui pousse l'autre partenaire à ne plus savoir comment agir de peur que sa moitié ne l'interprète autrement. Cela crée par la suite un brouillage de la bonne communion dans le couple. Soupçonner le mal a aussi détruit plusieurs solides amitiés, plusieurs anciennes alliances. L'un a cru que l'autre voulait faire ceci ou cela, ou que l'autre était ceci ou ceci et cela a créé par la suite des problèmes que l'orgueil et les frustrations ont alimenté, et après rien n'a pu être sauvé. Apprenons à d'abord faire confiance aux autres et si jamais il arrive que nous ayons des preuves solides, nous pouvons peut-être, je dis bien " peut-être " pour dire qu'il faut vraiment être sûr que nos preuves soient solides avant de soupçonner quoi que ce soit. Si une personne a pour ambition de nous faire du mal injustement, nous en tant qu'enfants de Dieu, nous savons que notre Dieu nous justifiera ou pourra déjouer les mauvais plans contre nos vies. Vous savez ce qui est grave dans l'action de soupçonner le mal, c'est le fait de commettre une grave erreur quand nos soupçons ne s'avèrent pas vrais. Cela peut attirer la colère de Dieu contre nous et nous pousser à poser des actions injustes et insensées. On peut calomnier injustement ou accuser injustement, pendant que nous savons que les enfants de Dieu sont ceux là qui pratiquent la justice de Dieu. C'est par là que se font reconnaître les enfants de Dieu et les enfants du diable. Quiconque ne pratique pas la justice n'est pas de Dieu, non plus que celui qui n'aime pas son frère. 1 Jean 310 Apprenons à toujours avoir des pensées positives envers les autres. Cela nous évitera assez des choses désagréables et nous rendra agréables à notre Père. Ne nous précipitons pas à soupçonner le mal, aimons plutôt notre prochain ! APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL Published by APOTRE DE REVEIL LG. PENIEL - dans MEDITATION
4L'amour est patient, il est plein de bonté; l'amour n'est point envieux; l'amour ne se vante point, il ne s'enfle pas d'orgueil, 5 il ne fait rien de malhonnête, il ne cherche pas son intérêt, il ne s'irrite pas, il ne soupçonne pas le mal, 6 il ne se
Parfois les soirs de fin d'été et d'automne, la couleur d'or et de feu du soleil couchant semble éclairer toutes choses de l'intérieur. C'est là l'image parfaite de la charité, cet amour de Dieu qui éclaire de l'intérieur et inspire tous nos actes. La charité n'est pas seulement une vertu théologale, comme la foi et l'espérance, elle est aussi la vertu fondamentale, l'âme des autres vertus. Que disparaisse la charité, et la prudence, la crainte, la tempérance ne sont plus que des façades. Bien des textes théologiques semblent indiquer que la charité à l'égard des êtres humains est subordonnée à l'amour de Dieu. On peut en conclure que la personne charitable est celle qui aime ses semblables par amour de Dieu. L'idée de charité aura souffert de cette interprétation qui a incité bien des malheureux à dire aux personnes réputées charitables aimez-moi donc aussi pour moi-même un peu!» Le véritable rapport de charité avec l'autre consiste à l'aimer divinement, à l'aimer à la manière de Dieu. Non seulement l'autre se sent-il alors pleinement aimé pour lui-même, mais encore se sent-il aimé et reconnu pour ce qu'il y a de divin en lui. Certains tableaux, tel le Mendiant de Murillo, certaines sculptures, comme celles de Donatello illustrent cet amour. Si peu chrétien pourtant, Nietzsche en a eu l'intuition que votre amour soit de la pitié Mitleiden pour des dieux souffrants et voilés.» Naturelle à sa racine, la charité n'atteint sa plénitude que par ce mouvement descendant de Dieu vers l'homme qu'on appelle la grâce. À ce degré, elle est infuse, surnaturelle. Elle a pour siège la volonté, l'appétit intellectuel, précise saint Thomas, pour bien la distinguer du désir orienté vers le bien sensible. ***L'équivalent de charité en hébreu est zedakah, mot qui est synonyme de justice, de droiture. Donner à plus pauvre que soi est un devoir, non une forme de générosité, la reconnaissance d'un droit, non une faveur. Maimonide distingue sept degrés dans la charité 1 Donner, mais tristement. 2 Moins qu'il ne convient, mais de bon coeur. 3 Seulement après avoir été invité à le faire 4 Avant 5 De telle sorte que l'identité de celui qui donne soit ignorée de celui qui reçoit. 6 De telle sorte que celui qui reçoit ignore l'identité de celui qui donne. 7 De telle sorte que l'un et l'autre agissent incognito.
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l amour ne soupçonne point le mal